Les Travaux Pratiques à la carte

9h - 18h

 

 

 

MAISON DE LA CHIMIE

28, rue Saint Dominique 75007 PARIS

  

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PRÉSENTATION des 12 Travaux Pratiques et Dirigés

 

Tout sur la Journée SOP du 22 mai 2014

 

Quatre nouveaux TP, ou plus exactement quatre nouveaux TD, auxquels il faut ajouter huit TP du millésime 2013, en cours de réactualisation. Voilà, présenté en quelques mots, le programme de l’édition 2014 de la Journée TP et TD, qui vient d’être bouclé par la SOP.

C’est à la Maison de la chimie, le jeudi 22 mai prochain, que se tiendra cette Journée TP et TD, qui comptera donc au total 12 ateliers. L’objectif : améliorer son geste et/ou son approche théorique et pratique dans les domaines actuels de la pratique généraliste. La méthode : des responsables scientifiques triés sur le volet, attentifs à une démarche pédagogique de qualité, eux-mêmes épaulés par leur équipe d’enseignants pour accompagner chaque participant dans sa démarche de perfectionnement.

Parmi les nouveautés, donc, quatre TD, à commencer par celui consacré à l’Éducation thérapeutique du patient (ETP), sous la responsabilité scientifique de Sylvie Saporta. L’ETP, notion naguère réservée aux maladies chroniques en médecine générale, imprègne petit à petit notre discipline. Et pour cause : parvenir à transmettre à nos patients des messages qui garantissent la pérennité de nos travaux (que ce soit en parodontie, prothèse, implantologie, orthodontie, soins des patients polycarieux, etc.), cela ne s’improvise pas ! L’ETP est une méthode structurée permettant d’aller au-delà de la simple « information » du patient dont on ne sait si elle est intégrée ou acceptée. L’un des enjeux consiste aussi à s’assurer de son consentement éclairé, notion qui imprègne désormais le droit médical.

Deuxième nouveauté : le TD consacré à la Prise de décision en pratique généraliste, animé par Éric Hazan et Éric Serfaty. Il s’agira de construire des plans de traitement en fonction de la réalité thérapeutique, bien sûr, mais en y associant d’autres paramètres comme la variable « coût » pour le patient ou encore son acceptation de telle ou telle option thérapeutique. Chacun pourra soumettre ses cas pour en débattre.

Troisième nouveauté : le TD Stérilisation, conduit sous la direction scientifique de Philippe Rocher. Bien sûr, tous les praticiens savent manipuler un stérilisateur, mais appliquer, de manière ergonomique et systématique une méthode de stérilisation simple et efficace, c’est autre chose ! C’est cette méthode et cette organisation que proposera aux participants, de manière dynamique, Philippe Rocher.

Enfin, la quatrième nouveauté va à la rencontre de l’une des maladies professionnelles les plus courantes : les pathologies lombaires. Il existe des recettes simples en termes de postures, de gestes et plus largement d’ergonomie du cabinet dentaire pour prévenir ces pathologies. C’est ce que proposera le TD Posturologie, sous la direction scientifique de Jean Ginisty.

S’agissant des TP proprement dits de l’édition 2014, les deux nouveautés 2013 ont été reconduites. Victimes de leur succès, tous les praticiens qui avaient souhaité s’y inscrire n’avaient pu le faire faute de places disponibles. Il s’agit des TP Dépose des éléments prothétiques et retrait d’instruments fracturés, sous la responsabilité scientifique de Cauris Couvrechel, et Imagerie 2D et 3D conduit par Sandrine Dahan. Le démontage des prothèses et le retrait d’instruments fracturés constituent des actes délicats qui peuvent causer des dommages irréversibles. Ce TP se donne pour objectif de donner aux participants les clés pour appliquer au mieux les techniques en réduisant les risques au minimum.

Quant à l’imagerie numérique, de plus en plus présente dans les cabinets dentaires, elle demande au praticien de développer un oeil avisé pour interpréter correctement les données. C’est l’objectif du TP Imagerie 2D et 3D.

Les autres TP sont en cours de réactualisation à l’aune des dernières évolutions, mais aussi des évaluations émanant des participants en 2013, qu’il s’agisse du TP CFAO et empreinte optique (direction scientifique : Christian Moussally), Prothèses sur implants (Corinne Touboul et Hadi Antoun), Reconstitutions corono-radiculaires (Jacques Déjou et Gérard Aboudharam), Inlays, onlays et overlays (Claude Launois), Prothèse conjointe : les préparations céramo-céramiques (Philippe Gateau) ou Les chirurgies parodontales (Myriam Dridi).

Bien sûr, nous reviendrons en détail, sur cette page et au fil des numéros de notre JSOP, sur le programme de ces TP et TD en 2014. 

 

 

Voir ou re-voir la séance des Travaux Pratiques de la SOP en 2013 : cliquez ici  

 

 

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PROGRAMME de la Journée du 22 mai 2014

 

 

RÉSUMÉS des 12 Travaux Pratiques et Travaux Dirigés  :

 

 

  

TP 1 – Prothèses sur implants  TP résumé programme   

Responsables scientifiques : Corinne Touboul, Hadi Antoun

 

TP 2 – Reconstitutions corono-radiculaires   TP résumé programme   

Responsables scientifiques : Gérard Aboudharam, Jacques Déjou

 

TP 3 – Inlays, onlays et overlays   TP résumé programme   

Responsable scientifique : Claude Launois

 

TD 4 – L’éducation thérapeutique du patient   TD résumé programme     NOUVEAUTÉ 

Responsable scientifique : Sylvie Saporta

 

TP 5 – Prothèse conjointe : les préparations pour prothèses céramo-céramiques    TP programme    

Responsable scientifique : Philippe Gateau

 

TP 6 – CFAO et empreinte optique   TP résumé programme        TP 6 : COMPLET 

Responsable scientifique : Christian Moussally

 

TP 7 – Dépose des éléments prothétiques et retrait d’instruments fracturés    TP résumé programme    

Responsable scientifique : Cauris Couvrechel

  

TP 8 – Imagerie 2D et 3D   TP résumé programme      TP 8 : COMPLET 

Responsable scientifique : Sandrine Dahan

 

TD 9 – La prise de décision   TD résumé programme     NOUVEAUTÉ

Responsables scientifiques : Éric Hazan, Éric Serfaty

 

TP 10 – Les chirurgies parodontales    TP résumé programme    

Responsable scientifique : Myriam Dridi

 

TD 11 – La stérilisation au cabinet dentaire    TD résumé programme        NOUVEAUTÉ

Responsable scientifique : Philippe Rocher

 

TD 12 – Posturologie & Ergonomie    TD résumé programme      NOUVEAUTÉ     TP 12 : COMPLET 

Responsable scientifique : Jean Ginisty

 

 

 

 

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TP1  -  Prothèses sur implants

 

TP « Prothèses sur implants » : les clés pour se lancer  > 

 

 Responsables scientifiques : Corinne Touboul et Hadi Antoun

  

 

L'objectif de ce TP est de donner toutes les clés aux participants pour se lancer dans la réalisation de prothèses sur implants, mais aussi d’apporter des réponses dans le but d’améliorer et de conforter la pratique des praticiens déjà expérimentés.

« La feuille de route de cette séance, explique Corinne Touboul, coresponsable scientifique de ce TP avec Hadi Antoun, est résolument la suivante : simplifier, faciliter et sécuriser les différentes étapes de la prothèse sur implants en omnipratique. »

Pour ce faire, un premier module très dynamique – sous la forme d’une intervention courte et concise de tous les enseignants de ce TP – sera consacré aux rappels des fondamentaux incontournables de la proth.se sur implants. L’importance du projet prothétique et les différentes options prothétiques (proth.se vissée, proth.se scellée, overdentures) seront abord.es, ainsi que les techniques d’empreinte, l’enregistrement de l’occlusion et le choix des piliers prothétiques. Un petit détour par le laboratoire sera d’ailleurs proposé aux participants. L’approche sera orientée sur une application très pratique qui détaillera les étapes cliniques en proth.se unitaire et plurale, le concept occlusal – qui revêt une importance capitale en implantologie – sans oublier la séance de pose (vissage ou scellement).

Deux grands systèmes implantaires, Mis et Nobel Biocare, seront manipulés par les participants, qui seront invités à réaliser une empreinte à ciel ouvert et à ciel fermé sans risque d’erreurs de repositionnement d’un transfert. Ils seront par ailleurs guidés dans la réalisation d’une prothèse scellée qui présente systématiquement une adaptation parfaite sur son pilier. Ils sauront comment utiliser les piliers Locator. en proth.se amovible et comment maîtriser le système Procera ® ou la proth.se vissée.

L’objectif, on l’a compris, consiste à manipuler pour apprendre – ou corriger ses défauts – et, dès que possible, mettre en pratique les enseignements du TP au cabinet dentaire. La Journée se terminera par un grand débriefing au cours duquel tous les enseignants répondront aux interrogations et aux remarques des participants, qui se verront remettre un document synthétique à l’issue de la séance.

Les différentes options prothétiques, les techniques d’empreinte, l’enregistrement de l’occlusion et le choix des piliers prothétiques seront abordés dans ce TP.

 

Note : Les différentes options prothétiques, les techniques d’empreinte, l’enregistrement de l’occlusion et le choix des piliers prothétiques seront abordés dans ce TP.

 

 

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TP 2 - Reconstitutions corono-radiculaires 

 

TP  «  Reconstitutions corono-radiculaires » : faire le bon choix  > 

 

 Responsables scientifiques : Gérard Aboudharam et Jacques Déjou

 

 

La reconstitution d’une dent dépulpée est un acte fréquent dans la pratique clinique. En effet, la majorité des praticiens reconstitue plus de dix dents dépulpées par mois.

Porté par la grande diversité Des techniques de restauration, notamment depuis l’apparition de cotations spécifiques pour les reconstitutions  entre les nombreuses techniques ne s’avère pas toujours évident : inlaycore ou SC 33 ? L’omnipraticien doit se prononcer.

« À côté des incitations fortes de la sécurité sociale vers une réduction du nombre d’inlays-cores, le paramètre essentiel, dans le choix de sa méthode de restauration d’une dent dépulpée, reste évidemment la situation clinique » explique Gérard Aboudharam, coresponsable scientifique du TP avec Jacques Déjou. Ce TP, proposé par la SOP, a donc pour objectif de délivrer tous les outils aux praticiens afin de maîtriser les indications des différentes méthodes de restauration d’une dent dépulpée tout en intégrant la question de la cotation.

Ainsi les responsables scientifiques de la séance consacrée à la « reconstitution de la dent dépulpée » se sont fixe un triple objectif. Dresser un état des lieux complet des indications des différentes méthodes à disposition en fonction de la situation clinique constituera un point de départ essentiel afin de former les participants, dans un deuxième temps, à la réalisation de restaurations d’une dent dépulpée par matériaux plastiques. Enfin, il s’agira d’apporter des éclairages déterminants sur les crit.res de choix des différents tenons à base de fibres, les adhésifs et leur compatibilité pour connaître les impératifs du collage.

Dans le détail, les étapes seront les suivantes : rappel du comportement biomécanique et présentation des crit.res de choix de la méthode de restauration, visualisation de la radiographie des dents traitées, choix des racines devant servir d’ancrage à la restauration, mise en œuvre du tenon «  passif » à base de fibres et reconstitution à l’aide d’un système adhésif et d’une résine composite injectable chéopolymérisable ou duale. Les situations cliniques courantes et extrêmes seront abordées. Diverses perspectives seront mises en lumi.re concernant les critères de choix entre les différents tenons à base de fibres et la compatibilité des différents matériaux ou encore le co.t d’un SC 33. Chacune de ces phases commencera par un exposé théorique avant l’étape pratique.

Cette Journée se veut résolument pratique en s’adressant à tout omnipraticien, quelle que soit son expérience dans le domaine. L’ensemble des techniques acquises dans ce TP pourra être reproduit par les omnipraticiens dès le lendemain dans leur cabinet dentaire.

 

Note : Chacune des phases de ce TP sera introduite par un volet théorique pour, ensuite, passer à l’étape pratique.

 

 

 

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TP 3 - Inlays, onlays et overlays

 

Le TP « Inlays, onlays et overlays » se recentre sur la clinique  >

 

Responsable scientifique : Claude Launois

 

  

« À l’aune de l’édition précédente, nous allons en mai prochain recentrer le TP sur la dimension clinique et réduire la place donnée à la description des différentes étapes en laboratoire » explique Claude Launois.

À titre d’exemple, les participants au millésime 2014 de ce TP travailleront de manière plus approfondie sur la protection pulpaire et les sensibilités postopératoires. Et, cette année encore, l’ambition de Claude Launois et de son équipe consiste à mettre au point un modèle de travail proposant aux participants une configuration des dents à préparer, encore et toujours, la plus proche possible de la réalité clinique.

Au delà de ce recentrage clinique, la structure de ce TP restera la même que celle proposée en 2013. Les participants réaliseront différentes préparations et se verront apporter des réponses concrètes et précises aux questions qu’ils peuvent se poser à propos de ces réalisations.

En pratique, ils traiteront d’une situation proche de la réalité clinique. Ils disposeront, nous l’avons dit, d’un modèle pédagogique reproduisant des cas réels. En l’espèce, ce modèle simulera une arcade dentaire présentant des lésions carieuses sur dents pulpées ou dépulpées et des malpositions occlusales sur prémolaires et molaires. Ce modèle comportera également des préparations types en fonction de celles qui seront étudiées.

Le TP sera rythmé en deux parties. La première partie sera consacrée, après un rappel théorique sur les principes de taille, à la réalisation des cavités pour inlays, onlays et overlays.

La deuxième partie sera quant à elle consacrée au collage d’un inlay ou onlay selon le protocole de collage associant un adhésif M&R et un composite de collage « dual ». Il sera décrit, temps par temps, avec une démonstration en parallèle.

Les différentes étapes de ce TP permettront d’exposer toutes les questions essentielles, de la préparation au collage. Quels sont les critères de qualité des préparations pour assurer la pérennité ? Quelles sont les caractéristiques des préparations pour éviter la propagation des fêlures ? Entre céramique et composite, quel matériau choisir et quels en sont les avantages et les inconvénients ? Cette liste n’est évidemment pas exhaustive.

  

Note : Les différentes étapes du TP permettront d’aborder toutes les questions essentielles, de la préparation au collage, avec une forte dimension clinique.

 

 

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TD 4 -  Éducation thérapeutique du patient (ETP)  NOUVEAUTÉ

 

« Assurer la pérennité de ses traitements, s’assurer de l’adhésion du patient »  >

 

Responsable scientifique : Sylvie Saporta

 

 

- Quels bénéfices le praticien peut-il attendre d’un TD sur l’éducation thérapeutique du patient (ETP) ? 

Cela tient en quelques mots : assurer la pérennité de ses traitements. Vous pouvez réaliser les traitements les plus appropriés, dans certains cas, si vous n’obtenez pas la participation du patient durant et après le traitement, vous connaîtrez inévitablement des échecs. Cela est particulièrement vrai dans le domaine de la parodontologie et de l’implantologie, en prothèse ou encore en orthodontie.

Au cours du TD, l’ETP sera envisagée, suivant la demande des participants, via la parodontie, les lésions cervicales d’usure (LCU), les patients polycarieux ou l’orthodontie. En pratique, l’ETP permet de faire baisser considérablement le taux de non-observance du patient, voire de maîtriser ce risque. En outre, en plaçant le patient au centre du dispositif éducatif, vous allez établir une relation étroite avec lui, ce qui aura inévitablement un impact clinique, mais aussi en termes de rayonnement de votre cabinet dentaire. Ajoutons que, d’un point de vue juridique, la démarche structurée de l’ETP permet de valider le consentement éclairé du patient.

 

- Comment cela fonctionne-t-il ?

Prenons un exemple. Lorsque vous informez un patient buvant du soda toutes les demi-heures des risques qu’il encourt et qu’il fait peser sur le traitement, vous en appelez à son obéissance.

S’il ne modifie pas son comportement, l’échec à moyen ou long terme est quasi assuré. L’ETP, c’est un ensemble de techniques d’apprentissage, simples à mettre en oeuvre, qui permettent de passer du versant « obéissance » au levier « patient acteur de son traitement », autrement plus efficace pour assurer la pérennité des soins.

 

- Comment se structure ce TD ?

Il va se dérouler exactement de la même manière et avec les mêmes procédés qu’une séance d’ETP telle que la mènerait un praticien avec son patient. Il s’agit d’appliquer des techniques permettant de saisir la demande du patient, de comprendre où il en est, puis de compléter ses connaissances pour ensuite négocier et partager tant les choix que la responsabilité du traitement avec lui. Bref, de faire en sorte que le patient devienne acteur du processus thérapeutique.

 

Le contenu du TD : 

• Présentation de l’ETP : les principes, les techniques et leur application.

• Travail en groupe à partir des expériences des participants.

• Travail en groupe autour de trois cas cliniques.

• Restitution et définition des objectifs d’apprentissage.

• Jeux de rôle sur trois des objectifs définis.

• Application des techniques d’apprentissages et méthodologie de l’évaluation de l’atteinte des objectifs.

• Transposer l’ETP dans la pratique quotidienne.

 

 

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TP 5 -  Prothèses conjointes : les préparations pour prothèses céramo-céramiques 

 

TP « Préparations tout céramique » : comprendre et maîtriser  >

 

Responsable scientifique : Philippe Gateau

 

 

L’objectif de ce TP, proposé par la SOP, est d’apporter les connaissances essentielles pour maîtriser le « tout-céramique » et notamment faire le bon choix. Si l’on veut obtenir un rendu esthétique optimal tout en garantissant le confort du patient, les caractéristiques de chaque matériau doivent être connues dans le but de correspondre au mieux à la situation clinique.

Il existe sur le marché différents types de céramiques avec chacune des propriétés différentes, tant du point de vue optique que mécanique, adaptées à des indications spécifiques. Ces matériaux ont la caractéristique d’être exigeants et demandent une plus grande attention que la céramo-métallique.

Si le protocole est maîtrisé par l’omnipraticien, les techniques ne sont pas plus difficiles à mettre en œuvre. Avec une offre « tout céramique » qui s’est beaucoup développée depuis quelques ann.es, l’omnipraticien doit disposer des connaissances nécessaires pour faire le bon choix sans pour autant être influence par le marketing des sociétés spécialisées ou les préférences du prothésiste dentaire.

« Durant la séance, les omnipraticiens pourront apprendre les détails essentiels pour éviter l’échec » souligne Philippe Gateau, responsable scientifique de ce TP. Accompagné d’une équipe pédagogique, il guidera les participants pas à pas dans toutes les .tapes du TP.

Au cours de la Journée, chaque type de préparation sera étudié en trois temps : pourquoi, comment, et réalisation. Ils feront chacun l’objet d’une présentation de l’indication clinique. Le type de matériau utilisé pour la reconstitution prothétique sera décrit, et le tableau clinique ayant conduit à ce choix prothétique analysé.

Par ailleurs, une présentation très détaillée et progressive sera proposée avec l’indication du matériel rotatif à utiliser. En effet, les propriétés mécaniques très différentes de ces matériaux, ainsi que les problèmes liés à l’esthétique, imposent une préparation adaptée à chaque cas. L’espace prothétique et la forme de la limite sont ainsi propres à chaque matériau. Les participants réaliseront ensuite chaque préparation sur modèle pédagogique à l’aide d’un contre-angle « bague rouge ».

En fin de séance, une information sur les techniques d’assemblage sera proposée : « Faut-il sceller ou coller ? »

 

Note : Au cours de ce TP, chaque type de préparation sera étudié en trois temps : pourquoi, comment, et réalisation.

 

 

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TP 6 – CFAO et empreinte optique __ [   TP 6  COMPLET  ]

 

Trois restaurations au cours du TP « CFAO et empreintes optiques »  >

  

 Responsable scientifique : Christian Moussaly

 

 

Ce TP, qui s’inscrit dans la continuité de la Journée télévisée de la SOP du 16 janvier dernier. Les empreintes optiques en direct, est reconduit cette année avec une nouveauté : la prise d’empreinte optique en implantologie. Cette séance a pour objectif de démythifier l’empreinte optique en proposant aux praticiens de se familiariser avec un matériel à la pointe de la technologie.

Loin d’être réservé à une élite de « super-spécialistes », le matériel sera mis à la disposition des participants répartis par groupes de deux ou trois praticiens au maximum par machine, et trois restaurations au total seront réalisées. Ces conditions optimales permettront aux praticiens pas ou peu formés d’acquérir la maîtrise des dernières techniques de CFAO.

Les systèmes proposés durant ce TP seront le Cerec de Sirona, qui permet la mise en oeuvre de la CFAO directe (avec usinage sur place) et semi-directe (avec usinage au laboratoire de prothèse partenaire), ainsi que les systèmes 3Shape Trios® (B.Next) et Apollo® (Sirona), utilisés pour la CFAO semidirecte. Les participants travailleront sur des modèles réalistes (fausses gencives et dents en résine) avec des préparations déjà effectuées.

Chaque réalisation prothétique sera précédée d’une démonstration permettant l’identification précise de chacune des étapes. Les praticiens inscrits à ce TP réaliseront eux-mêmes un inlay en composite Lava™ Ultimate (3M ESPE), une couronne en vitrocéramique renforcée au disilicate de lithium e.max CAD (Ivoclar Vivadent) et les empreintes optiques d’un implant unitaire et d’un bridge de trois éléments. Ils pourront ainsi manipuler les nouvelles caméras, qui permettent l’enregistrement 3D en couleurs des volumes dentaires.

Le but de ce TP est de guider les praticiens afin qu’ils adoptent les gestes appropriés dans chaque situation et à chaque étape précise le responsable scientifique de ce TP, Christian Moussally. En s’intéressant de près aux dernières techniques, notamment la CFAO semi-directe, ainsi qu’aux nouveaux matériaux disponibles, ce TP permettra aux participants d’enrichir leur pratique quotidienne d’une réelle plus-value.

 

Note : Démythifier l’empreinte optique en se familiarisant avec un matériel à la pointe de la technologie, tel est l’objectif de ce TP, avec une nouveauté cette année : la prise d’empreinte en implantologie.

 

 

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TP 7 -  Dépose des éléments prothétiques et retrait d’instruments fracturés   >

 

Responsable scientifique : Cauris Couvrechel

 

 

« Même si les participants à ce TP ont manifesté une forte adhésion pour l’édition précédente, nous allons procéder à des ajustements, notamment en donnant le temps nécessaire à chacun pour la réalisation de ses actes », explique Cauris Couvrechel qui souhaite également dédramatiser cette matière en installant une dimension ludique dans son atelier. Retirer des éléments prothétiques, des instruments fracturés dans des canaux radiculaires ou encore des vis fracturées est en effet parfois vécu comme autant de gestes trop complexes, certains praticiens allant même jusqu’à préférer l’extraction.

Pourtant, il existe des techniques bien codifiées garantissant la dépose de tous ces éléments de façon prédictible, en toute sécurité. L’objectif de ce TP est de proposer des solutions efficaces aux praticiens. Les participants apprendront à affronter des situations complexes lors du démontage prothétique en adoptant les bons réflexes pour mieux faire face aux difficultés, notamment en cas de reprise de traitement endodontique.

Ils pourront également apprendre à gérer les échecs prothétiques sur pilier implantaire, une situation inédite encore récemment, mais hélas, de plus en plus courante. Au total, plusieurs ateliers permettront aux participants de se confronter à des situations cliniques variées : découpe et dépose d’un inlay-core, dépose d’une reconstitution corono-radiculaire fibrée, dépose des vis et piliers endommagés sur implants, dépose des instruments endodontiques fracturés. Ces ateliers seront illustrés par des cas cliniques afin d’assimiler, le plus concrètement possible, les indications et les limites de chaque technique.

Pour garantir l’interactivité du TP, une équipe de 12 encadrants assistera les participants, qui manipuleront du matériel de dernière génération. Les aides optiques (microscopes et loupes) seront utilisées au cours de cette séance. Des phases de manipulation alterneront avec des phases de questions réponses - démonstrations. Tous les protocoles présentés lors de ce TP pourront être mis en application dès le lendemain au cabinet dentaire.

  

Note : Les participants pourront exploiter du matériel de dernière génération au cours de ce TP, parmi lesquels le kit Endo Rescue® de Komet (retrait des instruments endodontiques fracturés), les inserts ultrasonores Endo Success™ de Satelec, la trousse de Thomas de FFDM (dépose des tenons métalliques scellés ou vissés et fibrés). Par ailleurs, pour traiter les cas d’échecs prothétiques supra-implantaires, de nouveaux kits de secours de différentes marques seront proposés.

 

 

 

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TP 8 -  Imagerie 2D et 3D   [  TP 8  COMPLET   ]

 

Chacun des quatre ateliers proposés lors de ce TP s’articule autour de cas cliniques concrets 

afin de coller à la réalité de l’exercice  > 

 

Responsable scientifique : Sandrine Dahan

 

 

« La richesse de ce TP provient, entre autres, de la pluridisciplinarité de notre équipe d’enseignants, puisqu’en effet les différents ateliers sont animés par trois chirurgiens-dentistes spécialisés en parodontie, chirurgie buccale, endodontie, une radiologue spécialisée en imagerie dentaire et, enfin, un manipulateur radio », explique Sandrine Dahan, responsable scientifique du TP Imagerie 2D et 3D.

Lancé avec succès en 2013, ce TP est, fort logiquement, reconduit en 2014. L’imagerie constitue aujourd’hui un élément essentiel dans nos prises de décision. Pour répondre aux attentes des praticiens, le TP s’organisera autour de quatre ateliers, au premier rang desquels la prise de clichés rétro-alvéolaires.

Avant de pouvoir interpréter une radiographie, encore faut-il être capable d’obtenir une image de qualité. Réglages du générateur, choix de films ou de capteurs, positionnement optimal du générateur par rapport à la dent et au capteur : tous ces paramètres seront étudiés au cours de cet atelier.

L’objectif : obtenir une image radiographique de qualité pour optimiser, dans un second temps, son exploitation. Le deuxième atelier est consacré à l’analyse de clichés panoramiques, largement prescrits, mais hélas souvent sous-exploités. Ils donnent non seulement des informations sur les dents, mais aussi sur les structures voisines. Cet atelier s’intéressera en particulier aux différentes lésions des maxillaires.

Les images radioclaires font trop souvent automatiquement penser à une origine endodontique or il existe de nombreux diagnostics différentiels bénins ou malins à considérer. Identifier l’origine de la lésion constituera l’un des objectifs centraux de cet atelier.

Le troisième atelier porte sur l’analyse de clichés rétro-alvéolaires. En dehors de situations évidentes, le diagnostic d’une carie débutante peut s’avérer difficile. Notre rôle est d’intervenir au plus tôt et, si possible, de façon non invasive pour préserver au mieux les tissus dentaires. C’est le cas en cariologie, mais aussi en parodontie et en endodontie.

L’objectif de cet atelier consistera donc à affiner l’interprétation radiographique dans ces disciplines. Enfin, le quatrième atelier est construit autour de l’analyse de l’imagerie 3D. Il a pour objectif la familiarisation avec les examens 3D (cone beam ou scanner). Le principe d’acquisition sera décrit, puis les participants pourront découvrir un logiciel de lecture.

Tous les ateliers seront articulés autour de cas cliniques. L’imagerie étant un élément capital à tous les niveaux de traitement, ce TP a pour vocation d’optimiser son acquisition et son interprétation par un travail en petits groupes.

 

 

Note : Chacun des quatre ateliers proposés lors de ce TP s’articule autour de cas cliniques concrets afin de coller à la réalité de l’exercice.

 

 

 

 

 

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TD 9 – La prise de décision 

 

Le TD « Prise de décision » : pour aller vers le traitement approprié  > 

  

Responsables scientifiques : Éric Hazan et Éric Serfaty

 

 

L’angoisse du praticien face à la décision thérapeutique !

Nous sommes tous confrontés, dans la dynamique de notre exercice au quotidien, à la difficulté de décider face à une situation clinique. Si la prise de décision est quotidienne dans notre activité, paradoxalement, cette compétence n’est pas enseignée en formation initiale ou continue souligne Éric Serfaty, coresponsable scientifique de ce TD avec Éric Hazan.

Acquérir une démarche systématique pour une prise de décision rapide, simple et efficace, tel est donc l’objectif de ce TD, proposé par la SOP.

La plupart des diagnostics dentaires, fondamentaux dans l’élaboration du choix thérapeutique, ouvrent la voie à une grande variété de traitements. L’enjeu de cette séance est d’aider le praticien à élaborer le plan de traitement le plus adapté à la situation clinique du patient tout en prenant en compte l’ensemble des techniques et des matériaux disponibles dans l’optique d’optimiser le résultat thérapeutique.

Résolument interactif, ce TD est fondé sur une réflexion collégiale entre les enseignants et les participants afin de conduire les praticiens à se poser les bonnes questions, notamment lorsqu’il s’agit de cas complexes impliquant un traitement parodontal, implantaire et/ou orthodontique.

Une équipe pluridisciplinaire accompagnera les participants dans l’acquisition des bons réflexes d’analyse en partant de la phase diagnostique pour aboutir à une décision thérapeutique appropriée.

Au fil de la journée, les participants seront progressivement confrontés à des cas cliniques des plus simples aux plus complexes. L’approche pédagogique privilégiera la dynamique collégiale et s’interdira toute démarche « magistrale ». Le participant pourra ainsi devenir un véritable acteur face aux cas présentés. Les praticiens auront la possibilité, s’ils le souhaitent, de présenter leurs cas cliniques à la fin de la séance avec les éléments nécessaires (radiographies, moulages et photos) pour échanger leurs points de vue.

 

Note : L’objectif de ce TD est d’aider le praticien à élaborer le plan de traitement le plus adapté à la situation clinique du patient dans le but d’optimiser le résultat thérapeutique.

 

 

 

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TP 10 – Les chirurgies parodontales  

 

Le TP « Chirurgies parodontales » réaffirme son ancrage clinique et pratique  > 

 

Responsable scientifique : Sophie-Myriam Dridi

 

 

 

Incisions, sutures, lambeaux d’assainissement, chirurgie préprothétique et muco-gingivale de renforcement : le TP Chirurgies parodontales, conduit par Sophie- Myriam Dridi, se concentre sur les fondamentaux de la discipline en pratique généraliste.

Avec des objectifs et les moyens pédagogiques et matériels pour y parvenir : accompagner les premiers pas des praticiens, d’une part, ou conforter la pratique de ceux qui ont déjà intégré la chirurgie parodontale dans leur exercice, d’autre part.

Après trois ans d’existence, ce TP a été en effet éprouvé pour répondre aux attentes concrètes des omnipraticiens, quel que soit leur niveau.

La séance sera divisée en quatre séquences de travaux pratiques. La matinée sera consacrée au rappel des principes fondamentaux des incisions, des sutures et des lambeaux d’assainissement. L’après-midi sera axé sur la chirurgie préprothétique et la chirurgie mucogingivale de renforcement. Afin de fixer au mieux les enjeux cliniques, une courte communication dressant la synthèse des points essentiels à maîtriser introduira ces grands domaines de la chirurgie parodontale.

Dans la continuité de cette approche théorique, les participants pourront réaliser des actes chirurgicaux sur des mâchoires animales. L’accent sera mis sur l’échange constant entre omnipraticiens et équipe encadrante. Pour une meilleure acquisition des enseignements, nous créons des groupes de travail adaptés aux niveaux des praticiens précise Sophie-Myriam Dridi. Pour ce faire, un formulaire rempli en début de journée permettra d’établir des groupes de niveau, et de nombreux encadrants accompagneront les participants en veillant à ce que chaque enseignement soit bien intégré par les omnipraticiens.

L’objectif de cette Journée est de proposer une séance et un suivi personnalisé pour que les praticiens puissent reproduire dans leur cabinet dentaire les gestes pratiqués lors du TP. Rappelons que, en 2013, 96 % des participants avaient exprimé leur satisfaction à l’égard de ce TP.

 

Note : Après trois ans d’existence, ce TP a été éprouvé pour répondre aux attentes concrètes des omnipraticiens, quel que soit leur niveau.

 

 

 

 

 

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TD 11 -  Stérilisation au cabinet dentaire

 

Un TD « Stérilisation au cabinet dentaire » pour les praticiens et leur assistante   >

  

Responsable scientifique : Philippe Rocher

 

 

« Appliquer les règles d’hygiène et d’asepsie n’est pas une démarche exclusivement réservée au chirurgien-dentiste ; c’est à l’ensemble de l’équipe soignante, et notamment à l’assistante dentaire, d’adopter les bonnes habitudes et les bons réflexes en matière d’hygiène » explique Philippe Rocher, responsable scientifique de ce TD qui compte cette année parmi les nouveautés de l’édition 2014 des TP et TD de la SOP.

L’implication du praticien et de son assistante doit se faire d’une seule voix dans le cabinet dentaire afin que les conditions d’hygiène soient sans cesse respectées. C’est pourquoi « il est important de souligner que ce nouveau TD est aussi bien destiné au chirurgien-dentiste qu’à son assistante » précise le Dr Rocher.

La séance sera essentiellement abordée sous forme d’études de cas animées par des photos et des vidéos représentant des situations concrètes en cabinet dentaire pour former les participants aux exigences liées à l’installation et à l’entretien des locaux professionnels. L’identification des rôles et des responsabilités du praticien et de l’assistante dentaire en matière d’hygiène et d’asepsie fera, d’ailleurs, partie de l’un des objectifs de ce TD.

Des discussions entre intervenants et participants autour des situations concrètes présentées permettront de repérer les pratiques « perfectibles » des praticiens et des assistantes dentaires dans le domaine de l’hygiène. Cet état des lieux sera l’occasion, dans un second temps, d’établir avec les intervenants des plans d’action réalistes et concrets à mettre en œuvre pratiquement dès le lendemain de la formation au sein du cabinet dentaire.

Les participants pourront, par ailleurs, s’auto-évaluer à l’aide d’un questionnaire pour faire un point sur les préconisations suivies et les aspects à modifier.

L’approche pédagogique de cette séance sera donc avant tout centrée sur la pratique pour amener les participants à intégrer dans leur exercice quotidien les bonnes habitudes en respectant les précautions standards.

Un autre temps fort de la séance se concentrera sur les conditions dans lesquelles les étapes de stérilisation des dispositifs médicaux doivent s’effectuer. Toujours dans une visée didactique, le développement continu de la qualité sera matérialisé de façon pratique par la présentation d’une liste de critères à respecter.

 

Note : L’identification des rôles et des responsabilités du praticien et de l’assistante en matière d’hygiène et d’asepsie sera l’un des objectifs du TD.

Note 2 : un Tarif spécial pour votre assistante est offert pour le TD 11, car le couple praticien-assistante est fortement recommandé : assistante : + 150 euros > cliquez-ici

 

 

 

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TD 12 – Posturologie & Ergonomie  [  TD 12  COMPLET ] 

 

 Tout savoir sur le TD « Posturologie & Ergonomie »   >

 

Responsable scientifique : Jean Ginisty

 

 

« 60 % des chirurgiens-dentistes souffrent de problèmes de lombalgie qui altèrent la qualité de leur exercice, mais aussi, et plus largement, leur qualité de vie » explique Jean Ginisty, responsable scientifique du TD « Posturologie & Ergonomie ».

Dans un contexte où nous privilégions avant tout l’efficacité au travail, nous sommes nombreux à ignorer ou à négliger les règles fondamentales de la posturologie et de l’ergonomie au cabinet dentaire. Le prix à payer ? Douleurs lombaires et cervicales, mauvaise circulation sanguine, etc.

L’objectif de ce TD consistera d’abord à identifier les postures et les gestes inappropriés que nous sommes hélas trop nombreux à reproduire au quotidien. « Il y a des contraintes que l’on peut réduire en cinq minutes, notamment sur le plan cervical, et j’en ferai la démonstration en direct avec les participants » explique Jean Ginisty.

Le TD s’attachera donc à montrer quelles sont les postures de travail appropriées. Il existe en effet une méthode simple pour se positionner correctement en fonction de la dent traitée, mais aussi en fonction du type de fauteuil et d’unit… tout en sachant que le maintien prolongé d’une posture, aussi correcte soit-elle, est lui aussi éprouvant pour le système rachidien.

Plus globalement, le TD se proposera de réaliser une synthèse entre l’ergonomie de conception (tout ce qui relève des matériels, l’unit, le siège, etc.) et l’ergonomie de réalisation (les postures adoptées par le praticien).

Jean Ginisty abordera prioritairement, bien sûr, la dimension ostéoarticulaire en répondant à cette question centrale : « Où se produit le surmenage et que faire pour le réduire ? » Mais ce TD se propose aussi de répondre à des questions que le praticien ne s’était pas forcément posées ! Sera ainsi développée l’ambiance lumineuse, thermique, sonore ou aérienne du cabinet dentaire. Pour illustration, beaucoup de praticiens connaissent des troubles auditifs ou de la vision, liés à des carences en termes d’environnement au cabinet dentaire.

Jean Ginisty abordera également la question des dispositifs sur mesure (désinfectants, stérilisateurs, etc.), mais aussi les principes d’hygiène informatique.

Au total, ce TD se propose d’aborder, en produisant des réponses très concrètes et applicables à court, moyen et long terme, l’ensemble des questions liées aux principes d’ergonomie au cabinet dentaire.