Aperçu de la conférence « L’imagerie 3D, No(s) Limit(es) »

Éric Bonnet

« L’imagerie 3D, No(s) Limit(es) » par Éric Bonnet




 


 


 

 

La dosimétrie reste un facteur majeur dans le choix de notre acquisition. Les principes de justification (du choix de notre examen) et d’optimisation (de notre choix d’acquisition dans la taille du champ d’exploration et du niveau de précision) restent les maîtres-mots de l’imagerie 3D.! » 

 



 


 


 

 

Nombreuses possibilités des indications de la tomographie volumique numérisée à faisceau conique : si l’implantologie reste l’outil de choix dans les options chirurgicales, il n’en reste pas moins que le cone beam est devenu un outil indispensable en omnipratique. Dès que le doute se révèle en imagerie bidimensionnelle (panoramique et imagerie intrabuccale), l’imagerie 3D nous offre cette 3e dimension si utile dans nos diagnostics.

 


 


 

 

 

 Nouvelles limites de l’imagerie 3D : mise en évidence d’un syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) à l’aide d’une acquisition cone beam. L’imagerie permet ici de compléter les examens polysomnographiques en validant le rétrécissement des structures pharyngées. (CS AIrway module Carestream Dental).