Conserver plutôt qu'extraire

 

Et si on gardait ?

Retour sur la formation « Conserver plutôt qu’extraire ? »

Transmettre aux omnipraticiens les outils concrets permettant de conserver des dents compromises voire très compromises. Tel était l’objectif de cette Journée, qui aura connu un véritable succès d’affluence avec un public nombreux mais aussi particulièrement jeune.

Preuve, s’il en est, que l’approche de la dentisterie d’aujourd’hui et de demain, résolument économe en tissus, recoupe réellement les préoccupations des praticiens quel que soit leur âge.

Comme en écho à cette affluence rajeunie, la Journée était portée par trois conférenciers encore trentenaires : Sandrine Dahan, David Nisand et Frédéric Raux.

introduction maison de la Chimie

Jeunes, certes, mais parfaitement légitimes ! Ils ont littéralement fait souffler sur cette Journée un air vivifiant, et ont donné la démonstration de leur engagement au service d’une dentisterie élégante.

Frédéric Raux est intervenu dans sa « spécialité » de dentisterie restauratrice, mais il a aussi endossé le rôle de l’omnipraticien questionnant des spécialistes. C’était le fil rouge de cette Journée, destinée à restituer de manière concrète les interrogations et les doutes des omnipraticiens sur la « conservabilité » des dents compromises.

Sandrine Dahan est intervenue en endodontie tandis que David Nisand a donné son éclairage de « paro-implantologiste ». Le cœur de la Journée aura été le traitement du cas clinique présenté en commun par les trois conférenciers.

Un cas d’endodontie particulièrement difficile qui aura permis aux conférenciers de présenter une approche qui, en respectant les règles jusque dans leur esprit, permet de retarder des échéances plus radicales de façon prédictible.

Le maître mot de cette Journée aura bien été : « conserver ».

 

Télécharger le compte-rendu de la Journée "Conserser plutôt qu'extraire" 16.10.2014 - SOP