La Revue d'Odonto-Stomatologie publie, sous l'autorité de la Société Odontologique de Paris, les textes, travaux, recherches, fiches cliniques, rapports d'activité, comptes-rendus et communications portant sur tous les domaines de l'odonto-stomatologie.
Les textes des articles sont à rédiger sous WORD (et doivent être adressés par courriel au rédacteur en chef, à l’attention du secrétariat de la SOP à l’adresse suivante : secretariat@sop.asso.fr
Les illustrations/photos de chaque article sont à envoyer en parallèle dans un CD-Rom à l’attention du rédacteur en chef, au secrétariat de la revue : R.O.S. (SOP) 6, rue Jean-Hugues, 75116 Paris.
Sauf accord préalable, les textes ne devront pas comporter plus de 10 à 15 pages et un maximum de 15 illustrations. Chaque page doit être numérotée.
Les textes doivent être rédigés en français. Des textes en anglais peuvent être soumis, après accord de la rédaction. La ROS prend en charge la traduction qui sera soumise à l’auteur et publiée sous sa responsabilité.
Ils devront être présentés comme suit :
Les références bibliographiques seront présentées à la fin de l’article, sur des feuillets à part, par ordre alphabétique des noms d’auteurs avec mention des catégories et rédigées selon les normes internationales conforment à l’Index Medicus, à savoir : noms et initiales des prénoms des auteurs, titre intégral du texte ou de l'ouvrage dans sa langue d'origine, suivi :
Tous les auteurs cités dans le texte doivent être référencés en bibliographie de façon conforme à l’Index Medicus.
Pour une meilleure qualité de reproduction, il est nécessaire de joindre des photographies cadrées et à la taille souhaitée par l’auteur en Haute Définition [300dpi au format JPG].
Toutes les illustrations originales seront chronologiquement référencées dans le texte sous la forme : fig. x, schéma x, tableau x, et numérotées par catégorie et selon leur ordre de citation.
Chaque fichier numérique fourni : illustrations/photos, devra être nommé selon l’ordre chronologique établi par l’auteur dans le corps du texte de l’article. Ex. : fig. 1 dans le texte > Fig. 1 [nom du fichier numérique], etc.
Toutes les légendes des illustrations et photographies seront répertoriées chronologiquement et rédigées en français dans un document WORD® séparé.
Les articles publiés engagent la responsabilité exclusive des auteurs.
La reproduction totale ou partielle de toute publication reste soumise à l’autorisation de l’éditeur.
Vingt-cinq tirés à part de chaque article seront adressés gracieusement à l’auteur en premier. Toute demande de « tirés à part » supplémentaire devra être formulée auprès de la rédaction au moment du « bon à tirer » et sera facturée au prix coûtant.
En 1978, à Vancouver en Colombie Britannique, un petit groupe de rédacteurs en chef de journaux médicaux se rencontrèrent pour mettre en place un guide référentiel commun pour traiter les articles reçus à leurs rédactions. Ce groupe fut d’abord reconnu comme le Groupe de Vancouver. Ses instructions pour les manuscripts, comprenant entre autres, le format pour les références bibliographiques développé par la Bibliothèque National de Médecine aux USA, furent publiées en premier lieu en 1979. Le Groupe de Vancouver s’agrandi et se transforma en Comité International des Rédacteurs de Journaux Médicaux ( International Committee of Medical Journal Editors, ICMJE), qui s’est réuni depuis chaque année, a élargi son influence et traite désormais des principes éthiques liés au journalisme biomédical. L’ensemble de ses conclusions peut être reproduit sous forme de guide référentiel à des fins didactiques non-lucratives et le comité encourage leur diffusion.
Ces règles de soumissions (Uniform Requirements) pour la publication d’articles biomédicaux rappellent les principes éthiques en relation avec la conduite et la publication de recherches et donnent des recommandations spécifiques pour certains aspects de l’écriture et de la présentation des articles médicaux. Ces conseils sont le fruit de l’expérience d’un certain nombre de rédacteurs en chef et d’auteurs. Autant que faire ce peut, ces recommandations sont justifiées par des démonstrations rationnelles qui, à elles seules, servent déjà le but éducatif de son propos.
Comme énoncé dans les Règles de Soumission d’articles à des Journaux Biomédicaux (Uniform Requirements for Manuscripts Submitted to Biomedical Journals) proposées par le Comité International des Rédacteurs de Journaux Médicaux (International Committee of Medical Journal Editors, ICMJE) : la confiance des lecteurs dans le processus de révision par des pairs et la crédibilité des articles publiés dépendent en partie de la manière dont les conflits d’intérêts sont gérés pendant les phases d’écriture, du peer review, et du processus éditorial de décision. Un conflit d’intérêt intervient lorsqu’un auteur, un reféré ou un rédacteur a un intérêt financier ou une relation personnelle qui pourraient l’influencer.
Ces relations particulières peuvent avoir une influence quasi-négligeable ou encore exercer un biais très important. Les intérêts financiers sont les conflits d’intérêt les plus identifiables (possession d’actions, expert, honorariat) et les plus suceptibles d’endommager la crédibilité du journal, des auteurs et même de la spécialité scientifique. Il est de la responsabilité de tous les participants au système de revue par ses pairs et du processus de publication de découvrir les conflits d’intérêt potentiels.
Pour la ROS, la découverte d’un conflit d’intérêt est particulièrement importante pour les guides cliniques, les cas cliniques, les articles de synthèse ou de revue et les éditoriaux, car il peut être plus facile de ne pas s’apercevoir des conflits d’intérêts pour ce genre d’article plutôt que pour des articles de recherche. La rédaction peut utiliser toute information mettant en évidence un conflit d’intérêt ou une affirmation d’un intérêt financier comme base pour des décisions éditoriales, et cela doit être considéré comme une pratique courante de publier ces informations si cela paraît important à nos yeux pour évaluer l’article. Pour une revue plus détaillée et mise à jour des divers conflits d’intérêt possibles, nous vous conseillons de vous rendre sur le site du ICMJE ( http://www.icmje.org ).
Comme énoncé dans les Règles de Soumission d’articles à des journaux Biomédicaux proposés par le Comité International des Rédacteurs de Journaux Médicaux (ICMJE, 2006) le droit des patients à la protection de leur vie privée interdit la publication d’articles sans un consentement éclairé. Aucune information permettant l’identification des patients ne doit être publiée, que ce soit dans le texte ou dans les photos ou encore d’une manière indirecte sauf si l’information en question est essentielle à l’intérêt scientifique de l’étude et avec le consentement éclairé du patient, des parents ou du tuteur légal.
Un consentement éclairé spécifique est alors requis après avoir montré l’article sous sa forme définitive avant publication et en conformité avec le droit français relatif à la protection de la vie privée et l’utilisation des données personnelles à des fins de recherche médicale. En cas de doute, un consentement éclairé sera requis. Si des informations pouvant identifier les patients sont altérés pour protéger leur anonymat, les auteurs doivent fournir l’assurance du maintien de la validité scientifique de leur étude. Les auteurs, rédacteurs et éditeurs se doivent de suivre la réglementation française en matière de protection de la vie privée en relation avec la recherche médicale.
En cas d’article rapportant des recherches mettant en cause des sujets humains, les auteurs doivent préciser la conformité de leur protocole avec les règles d’éthiques édictées par le Comité d’Ethique responsable (en France, le Comité Consultatif National d’Ethique, CCNE) et par la déclaration d’Helsinki de l’Association Mondiale des Médecins (AMM) revue en 2000.
En cas d’article rapportant des recherches concernant des expérimentations animales, les auteurs doivent préciser si les règles d’usage en vigueur pour le soin et l’utilisation des animaux de laboratoire ont été suivies (en France la Charte du Comité National de Réflexion Ethique sur l’Expérimentation Animale).
Pour de plus amples informations et mises à jour les plus récentes, vous pouvez consulter les sites suivants :