Publié le mercredi 03 février 2021
Vous êtes responsable scientifique de cette Journée prévue initialement avant l’arrivée de la pandémie, et programmée le 25 mars prochain. Ce contexte épidémique rebat-il les cartes de la Journée, en termes de contenu ?
Oui, inévitablement. Les conférenciers vont intégrer cette nouvelle donne dans leur intervention.
La Covid-19 a un impact très important sur nos conditions d’exercice. Tous les praticiens – ceux qui cherchent à s’installer comme ceux qui sont déjà installés – doivent être conscients de ce nouveau contexte de pandémies récidivantes.
Ils doivent s’assurer, sans culpabiliser et sans que cela devienne un frein à leur épanouissement professionnel, que leur installation est pérenne et durable.
L’objectif est-il de donner des réponses clés en main ?
Non. Il s’agira de donner des conseils applicables et pertinents, charge aux participants de les intégrer dans leur réflexion sur leur organisation.
Cette Journée vise à aider les praticiens à analyser leur propre terrain pour ensuite concevoir et mettre en œuvre leurs propres solutions.
Au fond, l’idée est de mieux vivre son exercice, y compris d’ailleurs en affrontant parfois des questions lourdes, par exemple sur un éventuel changement de local, qui peut s’avérer une solution économiquement pertinente.
La Journée va aborder toutes les problématiques : ergonomie, organisationnelle, managériale et, cela, jusqu’à la question du rôle de l’assistante dentaire.
Pourquoi ?
Parce que l’assistante dentaire joue désormais un rôle pivot. Son rôle dans l’organisation du cabinet est déterminant. Sa présence s’impose. C’est la condition d’un exercice serein.
Or, c’est précisément l’objectif de cette Journée : se poser les bonnes questions pour exercer sereinement notre métier médical. /